À 64 ans, Valerie Bertinelli suscite la conversation en ligne en partageant des photos en maillot de bain de sa silhouette “plus size”

Valerie Bertinelli a récemment déclenché une vague de discussions en ligne en publiant une photo de maillot de bain accompagnée d’un message sincère sur l’image corporelle et l’acceptation de soi. À 64 ans, elle a partagé un retour nostalgique à 2014, affichant fièrement sa silhouette de 150 livres sur son corps de 5 pieds 10 pouces, se décrivant ouvertement comme “en surpoids” selon les normes sociétales. Son message a rapidement suscité une vague de soutien et d’admiration de la part de ses abonnés.

Un fan a exprimé un sentiment qui a trouvé un écho chez beaucoup: “Vieillir fort, pas mince, telle est la devise!” La vulnérabilité de Bertinelli face à son parcours personnel en matière d’image corporelle a suscité des commentaires sincères, des admirateurs louant son authenticité et son courage. Les réponses allaient de “Vous êtes si réel” à des expressions de crainte, telles que “Oh mon Dieu”, “Je suis sans voix” et “Vous faites honte à tous les modèles!”

En réfléchissant à son parcours, Bertinelli s’est souvenue d’un moment de clarté lorsqu’elle a réalisé la futilité d’être obsédée par les “10 derniers kilos” qu’elle avait lutté pour perdre pendant des années. Un matin, debout sur la balance, elle a eu une prise de conscience profonde qui a marqué un tournant dans son acceptation de soi.

Ce tournant, associé à la mort de son ex-mari Eddie Van Halen en 2020, a incité une exploration plus approfondie de sa valeur personnelle, qu’elle approfondit dans ses mémoires Enough Déjà: Apprendre à aimer la façon dont je suis aujourd’hui. Le parcours de Bertinelli va bien au-delà du rejet des normes de beauté sociétales ; il s’agit d’accepter les plaisirs de la vie et de s’épanouir au-delà des apparences extérieures. “L’essence de la vie est de saisir l’instant présent”, dit-elle, plaidant pour une vie axée sur la beauté intérieure et la simplicité plutôt que sur le fardeau des attentes extérieures.

Dans ses réflexions, Bertinelli s’ouvre sur les défis liés à l’annulation de décennies de conditionnement sociétal, rappelant les moments douloureux de son enfance où elle a été jugée en fonction de son apparence, et comment le traitement dur de son père envers sa mère en raison de son poids a façonné son opinion. Malgré ces luttes passées, le message de Bertinelli est un message d’espoir, encourageant les autres à comprendre que la valeur d’une personne va bien au-delà de sa valeur superficielle.

Sa transformation personnelle l’a amenée à réaliser qu’elle n’a pas besoin d’attendre un certain poids ou une certaine apparence pour faire preuve de compassion envers elle-même ou envers les autres. Aujourd’hui, elle croit que sa valeur est davantage liée à la gentillesse dont elle se montre qu’à son apparence.

Bertinelli n’est pas la seule à remettre en question les normes conventionnelles de beauté à travers ses photos audacieuses de maillots de bain. D’autres célébrités, comme Helen Mirren et Demi Moore, ont également fait la une des journaux avec leurs démonstrations de confiance et d’assurance.

En 2008, alors qu’elle était en vacances à la plage en Italie avec son mari, Mirren s’est involontairement retrouvée sous les projecteurs lorsqu’une photo prise sur le vif l’a capturée dans un moment de détente. Malgré ses efforts pour éviter l’attention, l’image a suscité une admiration généralisée pour sa beauté naturelle.

De même, Demi Moore a captivé ses fans en partageant des aperçus de son escapade insouciante avec des amis, rayonnant de confiance et de charme, gagnant les éloges de ceux qui admirent sa beauté intemporelle.

Dans un monde souvent obsédé par des idéaux superficiels, Bertinelli, Mirren et Moore rappellent avec force que la vraie beauté transcende l’apparence physique. En acceptant leurs imperfections et en célébrant leurs parcours uniques, ils incitent les autres à repenser leur perception de leur estime de soi et à reconnaître la beauté que l’on trouve dans le simple fait d’être authentique.